Panel «Culture du viol au Québec en 2017: un déni collectif?»
L’association Québec Solidaire Université Laval convie la communauté universitaire à son panel: «Culture du viol au Québec en 2017: Un déni collectif?», qui se déroulera le mardi 4 avril de 19h à 22h, au local 3775 du pavillon Adrien-Pouliot.
Alors que différents épisodes d’agressions sexuelles ont été ressassés dans les médias, notamment les cas survenus à l’Université Laval, ceux dénoncés concernant les femmes autochtones de Val-d’Or, le dossier entourant Alice Paquet et Gerry Sklavounos, etc., peut-on parler de culture du viol au Québec en 2017?
Qu’est-ce que la culture du viol? Sur quoi repose-t-elle? Comment se manifeste-t-elle dans l’espace public? Comment est-elle perpétuée au sein de nos institutions publiques et privées?
Les 3 invitées de la soirée répondront à ces questions et aideront à démystifier ce tabou de notre société. Chacune d’elles abordera un aspect particulier de la thématique, dont sa présence dans les institution universitaires, dans les communautés autochtones et les minorités culturelles et finalement les questions touchant l’appropriation du corps de la femme.
- Camille Lambert-Deubelbeiss, étudiante en sociologie et militante féministe au sein du comité Femmes de l’Université Laval;
- Céline Hequet, chroniqueuse à Ricochet et chercheure-associée à l’Institut de Recherche et d’Informations Socio-économiques (IRIS);
- Maïtée Labrecque-Saganash, militante crie et co-organisatrice de l’initiative Faut qu’on se parle.
Une période de questions suivra la présentation de chacune des panélistes. Au plaisir de vous y voir!
Gratuit et ouvert à tous.